Le guide suprême a encore sévi, comme à son habitude se refusant à entrer dans le monde réel, faisant fi des lois de Newton et des mathématiques, Jupiter a annoncé ses décisions ubuesques, obligeant dans la foulée ses petits caporaux à résoudre la quadrature du cercle pour donner l’illusion de maîtriser le délire, alors qu’ils sont contraints à détricoter certaines mesures annoncées.
Quelle surprise de découvrir qu’un homme censé gouverner un pays puisse à un tel point proférer des inepties : annoncer une vaccination quasi obligatoire, sans laisser le moindre délai pour son effectivité relève soit de l’incompétence soit du mépris. Laisser à choisir entre être vacciné contre le covid19 et être testé trois fois par semaine, pour aller travailler, pour aller faire ses courses, ou pour aller pisser dans le seul café existant dans les environs, est un acte autoritaire. Son auteur savait pertinemment (enfin on peut l’espérer) que pour être vaccinés il y a un délai entre les deux doses. Pour garder un semblant de cohérence, ses sbires l’ont réduit considérablement ..Mais les délais de prise de rdv et d’efficacité des vaccins demeurent!
Je ne porterai pas de jugement sur l’efficacité et les risques de cette vaccination. Ceci dit être vacciné c’est subir le risque de soucis de santé non encore identifiés pour soi- même, mais aussi pour une potentielle descendance. Vu le manque de recul, ce fait ne peut pas être nié, même par les adeptes de la vaccination obligatoire, (d’autant plus que cette obligation démarre à 12 ans). Inversement ne pas l’être, quand on n’est pas identifié « à risque » c’est s’exposer à une maladie pas pire que d’autre, avec des risques de complications statistiquement très faibles.
Il est légitime, de s’interroger sur le concept de la vaccination, 
et ses objectifs. Pourquoi la recherche sur le paludisme n’avance toujours pas ? Pourquoi ne vaccinerait-on pas les chauffards trop nerveux au volant, pourtant sur le long terme responsables de milliers de morts ! Quelles limites d’acceptabilité imposer à une maladie, ou un fait social ? Ce n’est pas à un gourou d’en décider. Mais ce type particulièrement malsain érigé en président de la France, a pourtant décidé d’imposer son dictât, y compris aux employeurs et commerçants devant s’assurer que leurs salariés ou clients respectent ses règles. Il y aura cependant un écart à cette règle : les policiers pourront continuer leurs agressions sans la moindre obligation de vaccination, ainsi ces potentiels électeurs du front national ne seront pas contraints !
Ce choix a été clairement dicté par sa couille droite, non pour la méthode (pour cela la couille gauche excelle), mais pour les objectifs sauvages du néolibéralisme: permettre à l’économie capitaliste de ne pas être entravée par cette épidémie, et rappeler en passant que c’est lui le chef.
Dans la foulée rien n’est fait pour éviter qu’une nouvelle pandémie ou autre catastrophe apparaisse.
Le laisser faire du chacun pour soi (pour les plus riches), la promotion de pseudos solutions écolos (ex ces véhicules tout électriques, sources de gaspillages et pollutions produits hors France, mais financés par nos impôts…), la mise en œuvre discrète d’accords bilatéraux destructeurs de la planète avec le Canada, ou le Brésil, la libre circulation de bateaux peu polluant officiellement, car on ne comptabilise pas ce qui est en zone internationale (donc un cargo venant de chine, polluera moins qu’une camionnette allant du Larzac à Paris), ne sont que des exemples de ce capitalisme responsable de catastrophes majeures annoncées !
Aidé par sa couille gauche, Jupiter gère la crise coûte que coûte, sauf que ceux qui payent ne sont pas les plus grandes fortunes de France, à qui il cire les chaussures. Contrairement aux dires de ses portes-voix de France-Inter ou Arte, l’utilisation de l’État en cas de crise est une des caractéristiques majeure du capitalisme, à savoir : on privatise les profits et socialise les dettes. Donc sur le sujet il n’y a rien de neuf, et on garde les mêmes toujours avec les mêmes objectifs. L’obsession à reporter l’age de la retraite, tout en maintenant des licenciements massifs de salariés âgés, n’en est qu’un exemple. Après la casse de l’hôpital initiée et poursuivie par un dénommé Castex, ce sera la Sécurité Sociale qui sera sur la sellette ; Pour réduire un déficit (causé par les subventions massives aux entreprises sans contrôles), nous nous tournerons vers des banques privées (appelées abusivement mutuelles). Librement bien sûr, car à l’exception de Pinochet (pour initier le système), les néolibéraux ne nous obligent jamais.
Ce despote, n’a jamais été près du peuple (il ne représentait qu’environ 12 % des dits« français » lors des dernières élections de la république à laquelle il se réfère), et il l’a encore prouvé récemment en niant le souvenir des morts de la Commune de Paris, préférant non pas le souvenir des grognards napoléoniens, mais celui d’un homme auteur d’un coup d’état contre la république, qui s’est ensuite autoproclamé empereur…
Puisqu’il idolâtre cet autre être abjecte, qu’il aille à Sainte Hélène, et qu’il y reste, la maison de Napoléon est encore débout, et est la propriété de la France. Je suis même prêt à participer à une collecte pour payer son aller simple.
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