Il arrive, vite, vite, sauvons-nous.
Un vent de panique souffle sur la planète. Le coronavirus est là, enfin partout ou presque. On le croyait parqué au loin, mais contrairement au nuage de Tchernobyl il a osé franchir les frontières. 
En pleine psychose, que ferait-on à la maison de Dieu, le Vatican, si il débarquait sur Rome? Ce serait rigolo, voir le pape faire la bénédiction urbi et orbi sur une place vide, à moins que justement ce petit vicieux de virus profite du jour de Pâque pour s’en prendre à ce minuscule état, obligeant son riverain au confinement de tous les fidèles sur la place St Pierre.
Il parait qu’il faille le freiner, mais freiner quoi? Quel intérêt de freiner une maladie qui n’a aucun effet pour la plupart d’entre nous? Inversement protéger les plus fragiles est bien sûr une nécessité, seulement en france à la fin de ce mois de février ils sont partis pour assécher les ressources médicales, hospitalières et samu au nom d’une protection qui ne peut que se retourner contre ceux qui en ont réellement besoin.
afin d’isoler tous ceux qui connaissent celui qui vu le loup, allons nous subir un couvre feu 24h/24h avec interdiction de bouger? (ça va être dur pour les sdf).
Quid de la milice échappant par miracle à la pandémie, aura-t’elle le droit de tirer à balle réelle ce coup ci au nom de la salubrité publique, ou alors nous parqueront t’ils dans des prisons exiguës comme des pestiférés?
Pour ma part, j’ai pris à Chambéry le même Tgv que certains qui ont peut-être côtoyé les contaminés des Contamines (ma-joie). J’ai aussi pris le métro en compagnie d’italiens exubérant, j’ai passé deux heures à côté d’asiatiques en revenant de Bretagne, et pire que tout j’utilise quotidiennement la même porte d’immeuble que les clients toussoteux et crachoteux de médecins cis juste en dessous de chez moi. Donc si je ne me dénonce pas un quidam de mon entourage le fera auprès de la kommandantur locale.
Avant de se protéger de ce fameux virus, une question idiote vient tout de suite à l’esprit, comment savoir si on est malade? La réponse est simple il suffit d’avoir les mauvais symptômes! sauf que parait-il la majorité d’entre nous peuvent être porteurs sains, tout en étant contagieux. Mais alors pour en estimer le risque, il faudrait ramener les statistiques à la population entière, et après le délai de latence (d’une durée pas bien connue à ce jour), faire une comparaison avec les dégâts de la grippe, des accidents de la route, ceux du travail, de la pollution, et des manifestations pacifiques contre macron.
La réponse à cette question n’est pas pour demain. D’ici là, le virus aura largement eu le temps de se rependre partout si ce n’est pas déjà fait. Finalement les mises en quarantaines n’auront rien apporté de positif sauf à faire diversion sur les questions d’actualité qui fâchent.
Et, Il ne faut pas sortir de l’ENA pour constater que faire payer par la sécu les arrêts de travail forcés renvoie encore une fois essentiellement sur la collectivité des seuls salariés le financement du coût prohibitif d’une décision arbitraire d’arrêter l’économie par un état bureaucratique.
Les vraies victimes sont un faible pourcentage des personnes sérieusement atteintes, et ces personnes présentent des faiblesses initiales avérées et connues. Donc il s’agit d’un public potentiellement ciblé, la solution la plus intelligente aurait été d’anticiper la protection de ces personnes, pas seulement dans les ehpad…au lieu de faire la chasse aux témoins! C’est trop demander à l’élite nationale des gouvernants.
Nos apprentis sorciers semblent ignorer que la varicelle, la rougeole, sont des maladies hautement transmissibles avec lesquelles la société a vécu pendant des millénaires malgré un délai de latence inférieur à une semaine!
La grippe espagnole amenée par les américains en 1919 n’a pas été contenue de même qu’une autre grippe également d’origine américaine au début des années 2000. Ils ne voudront pas entendre non plus qu’une des cause de la propagation de virus futurs particulièrement (plus dangereux) sera fera pour beaucoup par cette mondialisation effrénée des échanges d’objets mais aussi des animaux, vivant puis en pièce détachées traversant allègrement des milliers de kilomètres non pas dans notre intérêt commun mais pour le profit des premiers de cordés au cul bordés de billets de banques si chers à macron.
Ne nous leurrons pas, les vrais virus ne sont pas ceux qu’on croit, et notre avenir ne sera pas non plus en écoutant les marchants du temple qui vantent le repli sur soi dans sa bulle internet: aucun spermatozoïde ne circulera par les réseaux sociaux et encore moins grâce à la 5G que certains n’hésiteront pas à nous fourguer comme panacée universelle!
