loup masquéMême masqués, on les voit venir avec leurs grands sabots: la seconde vague arrive, vite, vite barricadons-nous. Sauf que les trois quarts du territoire français n’ont pas plus vu la première vague que nombre de villageois terrorisés par la peur des étrangers n’ont vu un jour un immigré dans leur commune. Et ce sont les mêmes qui paniquent. Ce n’est pas une surprise à écouter les sirènes gouvernementales leurs chiens de garde, les journalistes.
L’hystérie du port du masque systématique en tout lieu pousse certains à circuler masqués alors qu’il n’y a pas un chat à la ronde. Mais il y a pire un malade mental va même jusqu’à vous virer des toilettes d’une plage parce si vous y rentrez pieds nus: pourtant aucun écriteau ne mentionne les conditions d’autorisations pour prendre son pied en ce lieu. Ce n’est qu’une anecdote parmi tant d’autres ou l’absurde est la règle.
comedia-del-arte par Manuel-BonillaPlus grave, dans une région ou le covid-19 est quasiment inconnu, le dénommé Estrosi oblige le port du masque dans une ville ou le nombre de cameras de surveillances dépasse le nombre d’habitants. De là à ce que les contrevenants soient jetés à la vindicte populaire via des appels avec des hauts-parleurs, il n’y a qu’un pas: ce que G.Orwell a imaginé Estrosi le fait!
Ce qui est aussi choquant est la propension à certains donneurs de leçon, affalés dans leur chaise longue au milieu d’un parc « privé » de plusieurs hectares (payé par nos impôts), à expliquer que porter le masque ne pose aucun problème avec des lunettes. Certes c’est possible pour regarder TF1 sur son canapé, mais à part cette activité ou le brouillard est déjà sur l’écran, je ne vois pas comment faire: soit qu’on meurt asphyxié pour avoir bien collé le masque sur le nez, soit que les lunettes se remplissent instantanément de buée au moindre souffle.
L’efficacité de la stratégie de la « distanciation » et de l’isolement que veulent nous imposer des dictateurs élus par eux même et leurs groupis, reste à démontrer.
Cochon masquéTout d’abord, le port du masque est-il réellement utile dans le cas présent? Le Conseil scientifique COVID-19, dans son avis du 27 juillet dernier affirmait: L’expérience a montré que ces mesures ont été associées à une limitation de l’ampleur de la vague épidémique, sans qu’il ne soit pour autant possible d’établir le rôle causal respectif qu’elles ont eu sur la transmission, ni la taille de cet effet causal. Les données qui permettraient de quantifier l’impact de ces mesures restent en effet rares…Reformulé autrement on n’a aucune donnée sérieuse sur l’efficacité des mesures mises en œuvre, à commencer par l’usage du masque.
Ensuite dans ce même rapport ils citent l’absence d’info sur les contextes de transmission du virus. Et ils relèvent même le cas de Crépy en Valois -premier foyer très important décelé en france- sans la moindre protection spécifique pas plus de 10% de la population a été contaminée, soit un taux proche de celui constaté en IDF durant le confinement….Cherchez l’erreur….
Finalement aucune étude ne prouve l’efficacité du masque, mais en générant délibérément une psychose collective, on veut nous l’imposer en toute circonstance. Pourtant les manifestations de mai et juin à paris, sans le moindre respect des règles de distanciation n’ont pas contribué à accroître le taux de contamination!
L’ hypothèse de diffusion en lieu clos, confinée est à ce jour la seule hypothèse connue et confirmée. On sait aussi que dès lors que ce virus survit plusieurs jours sur une surface plastique, contre seulement quelques heures sur la plupart des autres matériaux, préconiser un retour au plastique à usage unique est un contresens médical, tout en état un crime environnemental.
Et pour clore le sujet, on ignore tout des risques sanitaires dus à des masques non testés d’origine inconnue, susceptible d’être constitués de matériaux fibreux hautement toxiques.

Il est cependant incontestable que le nombre de cas de contamination explose, c’est mathématique, car le nombre de tests aussi. Par contre la faible évolution des cas d’hospitalisations voire de décès contredit l’affirmation d’une « forte » aggravation en cours.
Affiche pantalonnadeToutefois, le seuil de protection « critique » estimé supérieur à 50% est loin d’être atteint même en région parisienne, devons-nous pour autant continuer à nous refermer dans notre coquille pour éviter une contamination? Jusqu’à quand? Et pourquoi pas ad vitam æternam, vu que le virus mute, et que le suivant ne va pas tarder à se pointer.
Il fut un temps ou le mot liberté avait un sens, aujourd’hui le seul que l’on nous vante est « santé » Mais être un signe de bonne santé sociale que de condamner tout « le bas peuple » à se protéger du matin au soir d’un hypothétique danger, alors que à peine 1% des gens affectés sont exposés à des risques critiques, et que la grande majorité de ceux-ci sont identifiables -donc protègeables?
Qu’en est-il de toutes les pathologies, voire crimes découlant de ces mesures drastiques de distanciation? Le jeu de cet enfermement en vaut-il la chandelle? Ce bilan n’est-il pas pire que celui de la maladie elle-même? Sans oublier les dégâts sociaux déjà programmés à venir.

Jusqu’à preuve du contraire rien ne démontre que nous ne sommes pas chacun des criminels potentiels, et pourtant nous ne sommes pas enfermés. Inversement pour ceux qui ont eu le virus, aucune étude indiquerait l’existence de la persistance d’une dangerosité. Donc de quel droit imposer arbitrairement à tous ces règles drastiques injustifiées ou d’efficacité douteuses?

Visiblement nos gouvernants n’ont que faire de ces questions. La réalité est plus sordide qu’elle n’y parait. Il ne s’agit pas d’une confusion, d’une navigation à vue! Nous sommes en face d’une politique délibérée pendant que les médias sèment le vent de la panique, les coups bas sociaux se multiplient dans l’apathie générale, et le patronat a les mains libres pour réorganiser en douce l’univers du travail, à sa sauce, et les tenants d’une société totalement dématérialisée se frottent les mains. Une fois la tempête passée, nous nous réveillerons une fois de plus brisés par ceux qui dans le monde d’avant ont causé l’apparition de ce virus par une logique économique et environnementale dévastatrice au nom de leur seul enrichissement personnel. Le monde de demain qu’ils nous construisent avec l’appui d’une police mise à leur disposition par l’Etat, dans la peur est pourtant un monde sans avenir, car ils rasent tout sur leur chemin. Mais ils s’en foutent, après eux le déluge…

Ce n’est pas leur problème, c’est le nôtre. Ne les laissons plus faire!

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